Chaque chronique a besoin d’un nom, mais celui-ci devait être plus qu’un simple titre : il devait porter l’âme de ce que je veux partager avec vous. J’ai choisi “Papier & Poison” parce que la dark romance n’est pas une lecture inoffensive. Elle est faite de mots qui brûlent, qui dérangent, qui attirent et repoussent à la fois.
Le papier symbolise l’écriture, l’art, le livre que l’on ouvre comme une promesse d’évasion. Mais ce papier n’est pas vierge : il se noircit d’ombres, il accueille des histoires qui flirtent avec l’interdit, qui questionnent nos limites et nos désirs les plus troubles.
Le poison, lui, évoque la dangerosité du genre. La dark romance est une potion ambiguë : elle séduit par son intensité mais exige du recul. Comme un poison, elle peut fasciner ou effrayer, selon la dose qu’on accepte d’ingérer.
Ensemble, Papier & Poison incarne ce contraste qui fait vibrer la dark romance : la beauté et la cruauté, la douceur et la violence, la romance et la noirceur.
Enfin, j’ai ajouté la mention “la chronique littéraire sans censure” parce que ce genre ne supporte pas les faux-semblants. Ici, je parlerai sans détour de passion, de toxicité, de misogynie, de rédemption, d’obsession et de pouvoir. Tout ce que la dark romance ose explorer, je veux l’analyser et le partager avec vous, sans fard et sans peur.
Papier & Poison, c’est notre rendez-vous sans masque. À très vite, dans l’ombre de nos lectures.
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